En posant baillonné dans le quotidien espagnol El Pais, Manuel Valls continue à montrer son opposition à la direction du Parti Socialiste, en se posant en victime censurée. Après sa chronique dans le Financial Times du 20 juillet dernier, Manuel Valls ne cesse d’enfoncer le clou !
En écho à la phrase que Martine Aubry lui avait écrite "tu te tais ou tu t’en vas", Manuel Valls réplique "le PS doit changer ou disparaître". En tous cas, lui, n’a aucune intention de s’en aller. J’ai un peu l’impression qu’au delà des luttes de pouvoir, il y a un réel conflit de génération, non ?… Vous me direz : oui mais Benoît Hamon est aussi au PS et jeune… Quel sac de noeuds !
Il y a aussi des jeunes socialistes qui sont dors et déjà
vieux !
Je pense que le PS gagnerait beaucoup si tous ces petits bonzommes qui veulent tous la vedette se décidaient enfin à se rallier à quelqu’un et à s’unifier …