Un bébé commence à tisser des liens forts avec son doudou à partir de son sixième mois. Une fois que le nourrisson l’a intégré dans son petit univers, il ne peut généralement plus s’en passer. Mais pourquoi autant d’attachement ?
Doudou ou pas doudou ?
En France, un bébé sur deux a un doudou. Bout de tissus, couverture ou peluche… l’enfant ne le lâche pas d’un pouce et l’emmène partout. Certains refusent même de dormir ou de manger sans ce compagnon. Et les bouts de chou ne commenceront vraiment à s’en désintéresser que lorsqu’ils commenceront à fréquenter d’autres enfants et se faire des amis à l’école, c’est-à-dire vers leur septième ou huitième année. Toutefois, un coup de blues suffit à faire revenir le doudou au centre du jeu, dans la plupart des cas.
D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si le doudou est qualifié par les pédopsychiatres d’objet transitionnel. En effet, la peluche vient souvent se substituer à la maman en son absence. À son contact, le bébé se sent alors plus en sécurité et petit à petit ne se sentira plus abandonné. C’est pourquoi la séparation d’avec les parents lorsqu’ils s’absentent pour partir travailler ou quand le nourrisson passe ses journées à la crèche, est souvent facilitée grâce au doudou, qui devient l’allié réconfortant de l’enfant.
Et c’est parce que cet accessoire occupe une place très importante chez le bébé, qu’il faut le choisir avec soin et grande attention. Eh oui, n’oubliez pas que le doudou est en contact permanent avec leur peau très fragile. De nombreux nourrissons le portent même à leur bouche. Avec les doudous de la gamme Les Déglingos, vous avez l’assurance d’articles de qualité convenant parfaitement aux enfants en bas âge. De plus, la marque propose un très large panel de modèles de peluches tout aussi rigolos qu’attachants.
Que faire en cas de perte du doudou ?
Ainsi, si par mégarde ou par manque d’attention, le lapin en peluche ou le petit bout de tissu a été oublié quelque part, pire, égaré, l’enfant peut en souffrir. En effet, la perte du doudou s’accompagne souvent de crises de larmes, ou encore de refus de manger ou de dormir. Ainsi, à de rares exceptions, le bout de chou ne se calmera qu’une fois seulement l’objet fétiche entre ses mains.
Pour éviter de vous retrouver face à ce problème, achetez plusieurs exemplaires du doudou au lieu d’un seul. Interchangez-les régulièrement, pour que les peluches s’imprègnent bien de l’odeur de votre bébé. De ce fait, il vous sera plus facile de le « berner ». De plus, avec des doudous de rechange, vous pouvez aussi envoyer tranquillement le doudou sale au lavage. Le bout de chou n’y verra que du feu. Sinon, en cas d’absence d’une peluche de substitution, il ne vous reste plus qu’à consoler tendrement l’enfant…
Rassurez-le en lui promettant que vous allez faire tout votre possible pour retrouver son compagnon ; mieux : cherchez-le avec lui. Et si jamais l’intéressé reste toujours inconsolable, vous pouvez toujours, en attendant, lui proposer une autre peluche. La chose à ne surtout pas faire est de le gronder en le rendant responsable de la perte du doudou. Vous ne ferez qu’envenimer les choses. Enfin, si vous craignez de ne jamais retrouver l’objet transitionnel, il va vous falloir expliquer doucement à l’enfant qu’il doit se passer de son doudou ou en choisir un autre. Pas facile…