Après quelques jours de vacances, où il fait bon oublier un peu internet et se tourner vers la famille et les amis pour festoyer et passer du bon temps, finalement la nouvelle année arrive avec les bonnes résolutions que personne ne tiendra et les souhaits les plus communs, qui sont soit indépendants de notre volonté, soit utopiques. Voilà, la fête est finie, chacun rentre dans son "chez soi" glacial, le sapin a triste mine, la nuit tombe tôt, les habitudes, le silence et la solitude reprennent le dessus….
Je ne peux pas être plus explicite. Comme d’autres n’aiment pas Noël, moi, je n’aime pas l’après-Noël. C’est mon droit, non ?! Cette année 2010 est importante, comme un tournant : soit elle va me combler en réorganisant ma vie, soit la réorganisation ne se fera pas dans le sens qui me plairait et ce sera dur. Et que personne vienne me dire "Tu es maître de ta vie, c’est à toi de prendre les décisions pour que ta vie prenne telle ou telle direction" : ce sont des propos d’individualistes qui souvent mettent aussi à mal la valeur de liberté et qui ignorent les sentiments d’affection, d’amour et d’empathie.
Sur ce, je ne dérogerai pas à la tradition, en vous souhaitant à vous qui me lisez, une excellente année 2010 en formulant les voeux qui me correspondent : que vos projets aboutissent dans le sens vers lequel vous souhaitez les mener sans trop d’encombre, que vous soyez en pleine santé et que vous puissiez connaitre et partager des moments de bonheur intenses et sincères avec ceux que vous aimez !
Car il faut, malgré tout, garder la patate !…